Mélissa Da Costa est née en 1989, dans la région de Bordeaux, en France. Dès son plus jeune âge, elle ressent un besoin irrépressible de s'exprimer à travers les mots. Passionnée de littérature, elle s’oriente vers des études de lettres modernes, mais sa véritable aventure littéraire commence bien plus tôt, avec des cahiers de poésie et des récits qu’elle écrit pour elle-même.

La Dark Romance, un genre littéraire qui mêle passion et ténèbres, est de plus en plus populaire, tant en France qu'à l'international . Depuis ses débuts dans les années 2000, elle n'a arrêté d'évoluer, s'adaptant aux attentes d'un public à la recherche de récits à la fois intenses, intrigants et souvent troublants. Ce genre littéraire explore des thèmes profonds, où les relations amoureuses se tissent dans un univers souvent sombre, où les frontières entre amour, obsession et souffrance se floutent. Mais pourquoi un tel engouement pour cette littérature ? Et quel rôle les auteurs français jouent-ils dans cette tendance ?L'évolution du genre : de la niche au grand publicLa Dark Romance, d'abord considérée comme une niche, a rapidement conquis les lecteurs grâce à ses intrigues captivantes et ses personnages complexes. Dans ses premières formes, ce genre se caractérisait par des récits où l'amour naissait dans des situations extrêmes : des relations toxiques, des personnages au passé trouble, ou encore des situations où la frontière entre le consentement et la manipulation était floue. Le genre a fait un bond en avant avec des œuvres comme "Cinquante Nuances de Grey" d'EL James, bien que ce dernier ne soit pas à proprement parler de la Dark Romance pure, il a permis de démocratiser des éléments du genre tels que les rapports de pouvoir dans une relation amoureuse. Cela a ouvert la voie à une nouvelle génération d'auteurs qui ont cherché à explorer des territoires encore plus sombres, où la passion s'entrelace avec la souffrance, et où l'héroïne se retrouve souvent dans des situations périlleuses, tiraillée entre désir et danger. Aujourd'hui, la Dark Romance s'est imposée comme un genre à part entière dans le paysage littéraire, se distinguant par sa capacité à mêler violence, obsession et amour intense, tout en abordant des thématiques parfois dérangeantes mais profondément humaines : la rédemption, la vengeance, les relations abusives et la lutte pour la survie émotionnelle. Les auteurs français et la Dark Romance : un souffle nouveau Bien que ce genre soit souvent associé à des auteurs anglophones, des écrivains français ont su se saisir de cette tendance et l'adapter à leur propre style, souvent avec une plume empreinte de sensualité et de complexité psychologique. Bien que le genre soit dominé par les anglo-saxons, plusieurs auteurs français parviennent à tirer leur épingle du jeu. On citera parmi d'autres Tina L. Major qui s'est fait connaître dans le milieu avec des ouvrages comme "La Conquête de la nuit" et "Darker", des histoires où les personnages évoluent dans des situations extrêmes, mêlant passion, violence et psychologie complexe. réussissent à offrir une expérience très personnelle et originale 

La littérature, dans ses multiples formes et genres, a toujours évolué avec la société et les mouvements culturels. Ces dernières décennies, un changement significatif a eu lieu : la visibilité et l'intégration des personnages transgenres dans des genres littéraires populaires comme la dark romance, la fantasy, et bien d'autres.

Début novembre 2024, j'ai signé mon premier contrat éditeur avec Pierre Screiber, patron de la société d'édition In Libris Veritas. Je suis engagé pour 6 ans et pour 4 livres chez cet éditeur atypique. En effet, Pierre Schreiber est lui-même un écrivain de talent qui écrit des polars et des thrillers. Il possède plusieurs collections (Deep Impact, l'Horloger...) et compte plusieurs best-sellers à son actif. Ancien professionnel du tourisme, il vit dans la région aixoise et vend chaque année des dizaines de milliers de livres sur Amazon dont il est l'un des 5 meilleurs vendeurs en France.µ

Rien n’est pire en lisant un livre que d’y repérer des fôtes d'orthographe et/ou pire, de syntaxe et autres anacoluthes (non c’est pas un vilain mot…), sauf s’il s'agit d’une impasse syntaxique volontaire pour casser la monotonie d’une construction. Perso, j’aime bien… ;O))Mais le saviez-vous ? “fauter” peut rapporter énormément dans le monde littéraire et surtout aux lecteurs. Les exemples (célèbres parfois) ne manquent pas. Ce genre d’ouvrage, surtout chez les écrivains célèbres, est particulièrement recherché. Il y en a eu en tous genres et à toutes les époques.Un peu comme les premières séries, dont le défaut en fait quelque chose d’unique et donc de précieux.La chose vient de se produire dernièrement chez un éditeur français bien connu, (Albin Michel pour ne pas le citer).“L'inconduite”, quatrième roman d'Emma Becker et dont le premier tirage, annoncé à 40.000 exemplaires, comporte (horreur et damnation !) une faute d’impression dans la jaquette. Du coup, le voilà rhabillé pour l’hiver, surtout par la presse spécialisée.Au cas où Emma Becker passerait à la postérité, n’hésitez pas à chercher et acquérir la fameuse jaquette si vous en trouvez encore, parce que l’ouvrage risque de s’arracher.Dans mon livre MORTELLE MACHINATION, on en trouve également des coquilles qui ne sont pas forcément des perles, malgré maint(s)es relecteurs et relectures ;O))Elles vont disparaître au fur et à mesure des rééditions. Alors dépêchez-vous, on ne sait jamais… Lol !POUR GAGNER UN EXEMPLAIRE PAPIER DE "Mortelle Machination", inscrivez-vous à la Newsletter du site.

Il paraît qu’il va y avoir moins de nouveautés pour cette rentrée littéraire. Il y en aura juste… 500 ! Vous avez bien lu : 500 nouveaux ouvrages qui vont se déverser sur les étals des libraires comme la misère sur le pôv’monde dans les prochains jours et les prochaines semaines.

La version papier de “Mortelle Machination”, devrait sortir d’ici fin août ou alors début septembre. Je ne sais pas encore si je la proposerais à la vente, ici, sur le site. C’est certes financièrement plus intéressant. Dans le cas contraire, les marges sont ridicules si l'éditeur prend en charge l’acheminement. Il faut savoir aussi que le coût du transport a explosé, celui du papier aussi, donc il ne reste souvent aux auteurs que les yeux pour pleurer...

Je suis très fier de vous présenter ma page Auteur. J'ai pas mal ramé mais, au final, je suis assez content du résultat. Un peu d'autosatisfaction ne fait pas de mal, n'est-ce pas ? Mais pourquoi une page Auteur, alors que je suis déjà omniprésent sur FB et d'autres réseaux ?